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[…] Le motif de la nef, qui rejoint celui de la classique tonnelle, se retrouve dans l’architecture végétale du parc d’Athis-Mons, érigée dans un jardin à la française sur une élégante terrasse en demi-cercle fermée par une balustrade, d’où l’on peut voir Paris dans le lointain. Reprenant en écho les arrondis des bassins voisins, l’artiste conçoit une sculpture de quinze mètres de long, comprenant une allée centrale et deux ramifications latérales de perches plantées en terre et ligaturées à leur sommet pour dessiner une arche. […]. Extrait du texte de Colette Garraud, La nature et son double, 2005.
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